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Les trois petites cochonnes

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Les trois petites cochonnesJ’avais rencontré Béatrice, Valérie et Pauline au resto-U près de la fac où nous étions étudiants depuis quelques semaines à peine. Je les avais déjà remarquées quelques jours auparavant, toujours assises à la même table, le soir au dîner.Elles avaient l’air ingénues et quelque peu dépassées par les événements. Béatrice et Valérie étaient de petites grosses, brunes, toujours vêtues d’un jean moulant pour la première et d’un legging entrant bien dans la raie des fesses et divisant bien ses deux globes charnus, pour la seconde. Ils mettaient parfaitement en valeur leurs gros postérieurs. J’en étais même arrivé à me demander si elles changeaient régulièrement de vêtements. Pauline, quant à elle, était grande, blonde, mais bien enrobée aussi. Malgré sa grande taille, elle ne pouvait pas dissimuler son gros cul, également mis en exergue par un jean bien moulant et délavé à la propreté douteuse.Elles avaient l’air de bonnes campagnardes, originaire du cru, loin des canon de beauté et de classe, de mise dans la grande et belle ville où elles étaient venues étudier. En outre, elles ne paraissaient pas réellement sensibilisées aux questions d’hygiène, ce qu’il convenait de rectifier. Malgré tout elles avaient de jolis visages de petites paysanes. Jolis visages porcins mais au regards quelque peu bovins. Elles avaient attiré mon attention par ces quelques détails qui ne m’ont pas échappé, étant toujours à l’affut et qui m’ont furieusement excité. Comme je voulais en savoir plus sur elles, je me décidai donc de passer à l’offensive afin de m’occuper d’elles et les prendre en charge. Pour moi, elles étaient les trois petites cochonnes, mon nouvel objectif. J’avais tout un programme à l’esprit, ayant l’imagination très fertile, intarissable…Dès le lendemain soir, je m’assis à leur table avec mon plateau en les gratifiant d’un petit « Bonsoir, je ne vous dérange pas ? ». Comme je m’y attendais, elle n’étaient pas farouches et semblaient accepter ma présence avec joie. La conversation s’engagea rapidement et nous fîmes connaissance. Elles m’annoncères qu’elles étaient en première année d’anglais bahis siteleri et qu’elles appréhendaient un peu l’année universitaire qui venait de commencer. Je les rassurai en leur promettant mon aide étant donné que j’avais vécu plusieurs années dans la ville natale de Shakespeare, Stratford-uppon-Avon et avait été forcé d’ingurgiter une grande partie de ses pièces en version originale alors que j’étais encore un adolescent rebelle. Ce fut le rire général. La soirée s’acheva avec un café dans une ambiance bon enfant.De retour dans mon petit studio, la première chose que je fis fut de me branler copieusement en détaillant mentalement l’anatomie des trois petites cochonnes, mes nouvelles amies. Après une forte jouissance et de spasmes violents accompagnés de bonnes giclées de sperme bien sacadées, je fus enfin libre de me plonger dans mes cours de droit pour de longues heures avant de me coucher et m’endormir du sommeil des justes.Je les retrouvai le lendemain soir à la même heure et au même lieu. Dès mon arrivée, elles se mirent à glousser de joie. A les connaître un peu, elles semblaient réellement obsédées par le sexe. Béatrice remportait de loin la palme, tout dans ses yeux et son expression semblait indiquer qu’elle vouait un amour immodéré pour la bite. Mais ses deux copines n’étaient pas en reste, elles étaient tout bonnement plus introverties et discrètes.A la fin du repas, je leur proposai d’aller voir un film au cinéma. Dans le bus qui nous emmenait au centre ville, nous étions excités comme des puces et la moindre parole déclenchait un fou rire contagieux. Comme nous étions très serrés les uns contre les autres en raison de la promiscuité, ma main qui tenais la rampe frôlait régulièrement les seins de Pauline et Valérie qui se tenait face à moi. Béatrice, quant à elle, était coincée contre moi et son gros derrière bien moelleux était de plus en plus collé contre ma queue que je ne pouvais plus empêcher de grossir. A mon grand étonnement, je n’éprouvais aucune honte, bien au contraire, je me frottais de façon dévergondée contre elle en lui faisant apprécier cette grosse bosse tout en canlı bahis siteleri pelotant ses deux copines. Nous étions dans un état second et ne ressentions plus aucune pudeur.Arrivés devant le complexe, Béatrice partit bille en tête et ouvrit la marche, me laissant me délecter par la vue de son énorme cul que j’admirais et contemplais sans retenue, comme une œuvre d’art. Je tenais les deux autres par la main puis par les hanches. L’atmosphère était devenue torride et nous avons choisi au hasard un film comique.En ce soir de semaine, la salle était quasiment vide et nous nous installions au fond ou nous étions tout seuls. Nous nous laissions tomber dans les confortables fauteuils en velours rouge, Béatrice à ma droite, Pauline à ma gauche et Valérie à côté de Pauline. Je passais la main autour du cou de mes charmantes voisines puis leur roulais de grosses pelles bien profondes. Valérie vint s’assoir sur mes genoux pour participer à la fête.Lorsque les lumières s’éteignirent enfin, elles se levèrent toutes les trois pour bien me présenter leurs fessent dont elles n’ignoraient plus le pouvoir aphrodisiaques. J’avais trois super gros culs en face de mon visage et pouvais enfin me lâcher. Quelle bonheur que de pouvoir peloter ces trois magnifiques postérieurs quasiment en même temps, les toucher, les palper, les sentir, les renifler, les pincer, les mordiller… Je ne pus m’empêcher de baisser mon pantalon et mon slip et de me rassoir pour dénuder aussi ces trois gros culs à ma merci, à portée de main, à quelques centimètres de mes yeux, de ma bouche, de mon nez. Quel bonheur de voir apparaître cette généreuse viande bien blanche et crémeuse qui contrastait si bien avec la quasi obscurité de la salle. Je pouvais enfin les tapoter, les malaxer avant de bien écarter leur raie pour y enfouir mon visage, mon nez et ma bouche…j’étais d’autant plus excité par l’odeur et le goût de la cyprine que ces trois coquines avait fraîchement sécrétée et m’empressais de lécher et avaler ce doux nectar. Je passais également mon nez et ma bouche dans leurs petits trous, leur petites rondelles d’amour dont je me canlı bahis délectais du goût caramélisé et musqué avec la pointe de ma langue. Quel régal, quel festin! Elles commençaient à râler de plaisir. Et moi de continuer à les titiller en leur offrant un double doigtage vaginal et anal avec mon pouce et mon index, ce qui les fit transpirer, mouiller et couiner de plus belle. Heureusement que nous étions restés seuls dans cette partie de la salle. J’étais ivre de ces grosses fesses que je dévorais depuis un long moment mais je ne saurais dire depuis quand, sur mon nuage ou j’avais totalement perdu la notion du temps… J’étais complètement défoncé par ces riches saveurs mélangées émanant de ces culs que je dégustais et bouffaisSubitement, je les fis mettre à genoux, leur visage face à moi, bien à hauteur de bite.Je les empoignai l’une après l’autre par les cheveux pour tapoter ma queue toute raide sur leur visage, mon gland en explorant les moindres contours jusqu’à ce que Béatrice, n’en pouvant plus, avala sans prévenir mon gros chibre jusqu’à la garde en le suçant avec force dextérité et gourmandise. Puis ce fut au tour de Valérie et Pauline de me prodiguer de si bon soins… Je passais encore plusieurs fois de bouche en bouche jusqu’à ce que n’en pouvant plus, j’explosai en lâchant une longue rafale de bon jus bien chaud et crémeux sur le visage de chacune de mes trois petites cochonnes. Je me retenais pour ne pas hurler de plaisir gardant toujours à l’esprit que nous étions au cinéma…Les trois belles se rassirent tout en haletant encore de bonheur. A plusieurs reprises j’avais du les rappeler à l’ordre pour être moins bruyantes. Elles étaient joliment maculé d’un sperme tout brillant, au reflets argentés, dans l’obscurité. Pour finaliser ma prestation, je leur massai le visage en prenant soin de bien étaler ma semence comme s’il s’agissait d’un masque. Je les pris toutes les trois dans mes bras pour les embrasser encore et leur chuchoter de douces cochonneries a l’oreille lorsque les lumières se rallumèrent. Sans honte aucune, nous nous levâmes, droits dans nos bottes pour quitter la salle où nous avons été voir un film dont nous ne nous souvenions ni même du titre!Comme des enfants bien sages qui avaient passé une merveilleuse soirée, nous reprimes le bus en sens inverse pour rentrer chez nous, pressés de nous revoir bientôt.

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