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Souvenirs… (-3-)

Babes

Souvenirs… (-3-)”Laisser couler”Voilà quelques jours qui ont passé, depuis le cataclysme qui s’est produit, chamboulant au passage le cours paisible de mes vacances. Quelques nuits également chargées de rêves humides, mêlant tissu violet et flashs de gémissements torrides. Sommeil agité, culotte mouillée ! ( cf. souvenir -1- & -2- si le cœur vous en dit). Plus le temps passait, plus l’angoisse prenait le dessus, pas de nouvelles… si je lui écrivais… non, l’appelée peut être… non je n’ose pas… alors attendre qu’elle le fasse ? Nous n’avions pas pu nous recroiser, sans doutes à cause à cause d’obligations familiale diverses dont je ne me souviens pas. Ce dont je me souviens c’est que c’était long, du moins suffisamment pour que mon esprit se mette à échafauder, plans et scénarios qui ne tournaient en aucuns cas à mon avantage…J’en ai pleuré au moins autant que je me suis masturbée, désorientée par ce trop plein d’émotions. Seuls mes rêves venaient me consoler. Qu’elle conne ! Mais qu’est ce qui t’as pris ! Si ça ce trouve elle te déteste maintenant ! Tu fais vraiment n’importe quoi ! Pire encore peut être que tout le monde est au courant !La pression est à son paroxysme, première sortie publique depuis ”l’oreiller gate”. Je me revois allongée sur mon lit, les mains sur le ventre, qui tourne et vire dans tout les sens. Départ en apnée. Je passe les tripodes, inondée de soleil ce qui me réchauffe et me donne du courage (respire tu peux le faire sois naturelle).Et là : rien ! Rien du tout, notre bande de potes à lézarder sur la pelouse de la piscine, échoués comme d’habitude sur leurs serviettes. Les filles admirant les garçons, partis exposer leur courage et leur virilité sur le plongeoir de 5 mètres situé face à nous.Des bises, des ”ça va ?” pas de sourires en coins, ni de regards suspicieux. Je m’installe et me détends, pas d’Emilie en vue je suis soulagée (un peu déçue aussi mais bref c’est compliqué). Je me tartine de crème solaire, tout est revenu à la normale, j’arrange mon maillot de bain, un deux pièces rose, unis, simple & girly, reluquant au passage à droite, à gauche ce qui se fait en terme de mode estivale. Me disant que je n’oserais jamais porter de maillot ”string” même si j’aime bien les voir portés et dans le même temps que je dois vite vite arrêter de mater les autres nanas, il ne s’agirait pas de se faire pincer. Du coup je regarde le mien, je le trouve bien, échancré mais ”normal” personne ne peut se douter que tu es une tordue (stop ! cesse de penser à ça…).Mes oreilles se dressent ”elle ne viens pas Emilie aujourd’hui ?” (respire) suivi d’un ”si si elle arrive” (mais respire bordel). Flou artistique de nouveau, si seulement je pouvais me cacher sous cette maudite serviette… L’anticipation s’est remise à jouer avec mon ventre, je guette discrètement. Vent de panique, elle arrive, je la vois fondre droit sur nous. Toujours aussi parfaite, une démarche assurée & son fameux sourire vissé au lèvres. J’ai vécu cela comme au cinéma, en simple spectatrice, mes poils et mes cheveux hérissés tandis qu’un frissons parcourrait mon épine dorsale.Un gros câlin, une grosse bise, ”je suis trop contente de te voir”, re câlin… Bon visiblement je me suis gourée, mes scénarios se jettent du plongeoir tout comme le font les garçons face à nous. Léger temps de réadaptation, et c’est repartis on ragote, on papote & rient bahis siteleri toutes ensemble (ok il ne s’est rien passé). L’après midi avance sérénité revenue à son niveau optimal, tout se déroule à merveilles et comme d’habitude, exception faite de nos “claques” sur les cuisses qui demeurent aux abonnés absents, mais honnêtement c’est bien ainsi aux risques de faire exploser ma petite culotte ou bien de fondre en larmes je ne sais pas trop.On joue, on profite, dans l’eau et en dehors, sourires complices et rires à tue tête, je suis tellement heureuse. Nous voilà de nouveau dans l’eau, nous ébattant joyeusement, Emilie je jette sur moi avec la ferme intention de me ”couler”, c’est la bagarre, ses bras m’enserrent, le contact avec sa peau donne l’ordre à mon corps de se tendre. Elle a le dessus (j’apprécie…), sans trop me laisser faire pour autant. Son corps se frotte contre le mien et des mains maladroites tombent ça et là. Je n’avais jamais encore prêté attention à la douceur de la texture d’un maillot de bain… cette matière de synthèse un peu comme du nylon, fluide et si agréable au touché, vous voyez ce dont je veux parler ?Elle est victorieuse, je me rends et au lieu de m’envoyer sous l’eau, Emilie me plaque contre le bord du bassin, son visage a de nouveau franchi la ligne de sécurité, son genoux venant se placer entre mes jambes. Soulagé de mon poids, mon corps se posant délicatement sur sa cuisse, le mouvement de l’eau me faisant faire de petits allers retours sur sa peau. ” Je t’ai eu”, avec un sourire satisfait suivi d’un bisou furtif à la frontière entre ma joue et ma bouche. Pointe d’excitation intense et rapide (elle joue !?). Tout aussi vite Emilie fuit en riant. Il faut horriblement chaud aujourd’hui…Profitant d’une pause dans nos jeux, je laisse mon regard s’attarder sur elle, en dépit de toutes mes bonnes résolutions. Son corps mon dieu, moulé dans ce maillot de bains noir celui que j’aime beaucoup, petit, sexy et très doux maintenant je le sais. Il lui va à ravir. Elle joue avec ses cheveux en discutant avec M., qui est ”sur elle” depuis son arrivée, ne ménageant pas ses efforts pour séduire la belle, sans réel avancées jusqu’alors.J’en profite, coup d’œil discret discret vers ses fesses si joliment misent en valeur, ce maillot est vraiment très très échancré et les deux nœuds sur les cotés me font penser qu’il doit être facile à retirer et qu’elle est bien plus téméraire que moi ce dont je ne douter plus à ce stade. Pas de traces sur son popotin nous voilà sauvées, instant rêveries, une foule de souvenirs inappropriés se bousculant aux portes de ma culotte (silence là dedans !).Son corps ne m’aide pas et mes yeux refusent de regarder ailleurs, elle est vraiment jolie, fine et musclée. Je me perds dans sa chute de reins au niveau des deux petits creux qui surplombent son maillot. Emilie se retourne vers moi, ce regard, ce sourire je les connais ! ”Tu veux bien me mettre de la crème ? ”. Le temps de rassembler mes mots et mes esprits M., s’était jeté sur l’occasion, et j’ai regretté de ne pas avoir été plus vive…En une fraction de seconde elle était arrivé à m’allumer, cette petite phrase avait résonné jusqu’à mon sexe, M. prenait son temps, semblant y prendre beaucoup trop de plaisir si vous voulez mon humble avis.Une fois bien huilée, et M. expédié au passage, elle a poursuivi seule l’opération encrèmage. Mes yeux canlı bahis siteleri indiscrets ont fait de même, cachés derrière mes lunettes de soleil. Tout ses mouvements me faisaient tourner la tête, je voyais son ventre plat, ses cuisses et ses seins que je trouvais si beaux, se baladaient au rythme de ses mains. J’ai regretté de ne pas les avoir touché lorsque la situation m’avait été offerte, ils avaient l’air si doux et si fermes (mais tais toi maudite petite voix).Sa peau toute dorée, et bien protégée, Emilie s’est tournée vers moi, avec ce regard encore, ”tu en veux ?” agitant la bouteille entre ses doigts, affichant un sourire moqueur. Ma volontés m’avait complètement abandonnée, comme hypnotisée je me suis aussitôt allongée sur le ventre. Elle s’est installée à califourchon, a détaché mon haut, avant de s’asseoir sur le haut de mes fesses. Elle riait en se frottant les mains.Ainsi en parfaite position pour attaquer le massage, j’avais la sensation d’être à sa merci ainsi exposée, et je dois bien dire que c’était très agréable si je dois tout avouer. Chaque fibre de ma peau réagissait à ses lents mouvements, mes cuisses et mes fesses se contractant au même rythme. Détendue par ces caresses, ma minette commençait à s’ouvrir tendrement (et ce n’était vraiment pas le moment…reste concentrée).Emile s’est mise à s’appuyer plus fort sur moi, ses longs cheveux caressant mes flancs, pour se donner meilleure prise sans doute. Je pouvais sentir son petit abricot se frotter sur moi à travers le petit bout de tissu qui nous séparait. Elle est mouillée elle aussi ? ou peut être que son maillot n’est pas encore sec… Sans préavis elle a sauté vers arrière, pour pouvoir s’occuper du bas de mon dos, étirant le temps et ses mouvements. ”Fini” a t’elle lancé (NON), se servant de mes fesses pour essuyer le restant de crème sur sur ses doigts, les palpant et les écartant vers l’extérieur (continue s’il te plait…), mais non une bonne claque cinglante des deux mains sur mon cul ”hop là ma salope !” avant de s’allonger sur moi son corps contre le mien pour me donner un bisou dans le cou.Cette phrase si souvent prononcée n’avait plus la même signification aujourd’hui. C’est vrai ça je suis sa salope ? Je suis une salope ? moi ? Pour être transparente ses quelques mots m’ont fait autant d’effet que ses mains.Apres avoir profité d’un long bain de soleil et essayer de reprendre possession de mon corps, la fin de journée approchait à grand pas. Le groupe des filles s’est dirigé vers les vestiaires pendant que les gars continuaient de s’affronter dans un âpre tournois de ping pong. Nous voilà parties pour les douches, dans un joyeux bazar, elles sont collectives en box, fermés à 3/4 par des planches et une petite porte, ce qui nous permettait de rester en contact sans toutefois être trop à la vue de tous.J’ai songé à peine le bruit couvert par l’eau, a me caresser pour évacuer toute la tension accumulée au fil de la journée. Mais Emilie m’a rejoint en sautillant, rien de choquant, car d’habitude prises dans des discussions qui ne pouvaient attendre.Nous nous sommes rincées en conservant nos maillots, Emilie en pleine conversation avec le box d’à coté. Tout en poursuivant à causer, elle a entrepris de me savonner, moi qui pensais avoir un peu de répit… Elle m’as dirigé face au mur, de nouveau hors de tout contrôle mon corps s’est laissé faire. Elle canlı bahis est derrière moi, continuant à papoter. D’abord doucement, faisant mousser mon dos et ma nuque, puis se faisant plus entreprenante son corps se collant a mon dos.Je suis déjà chancelante ses mains gagnent en audace s’aventurant sur mon ventre, sur mes seins et bientôt sur mes fesses. J’ai du resté concentré pour ne pas gémir tandis que je prenais feu. Toute à sa discussion, moi je peine à entendre mes oreilles bourdonnent ” Tu l’aime bien M.” venant d’un box ”j’ai quelqu’un d’autre en tête” avant de venir embrasser mon cou.Ses mains avaient pris possession de moi, virevoltant dans toutes les directions (c’est divin), sur sa lancée une main a glissé vers mon bas ventre, pour arriver à mon minou par dessus mon maillot. Personne n’avait encore eu accès à cet endroit. De surprise j’ai posé mes deux mains sur le mur en poussant mon cul contre elle pour lui faciliter le passage (je veux que tu t’arrêtes mais je t’en supplie ne le fais pas). Cette main est restée en place pour bien ”nettoyer” la zone, alors que l’autre se frayait un chemin entre mes fesses pour venir parfaire le travail. Je suis au bord d’une explosion titanesque.J’entends ”Lys tu ne dis rien ? ” provenant de je ne sais où, au mauvais moment, pour m’entendre répondre ”non je suis sage moi”. Ce qui fais rire Emilie, qui s’éloigne… avant de se déshabiller pour sortir. Ma chatte me fais mal c’est malin ! Nous nous retrouvons toutes ensemble pour filer au cabines de changes. Un éclair me foudroie, je vais sans doute partager de nouveau avec elle. Et ça n’as pas loupé, toute les deux enfermées dans cette boite, silence inhabituel, couvert par les blah blah de nos copines. J’ai chaud au delà du supportable, et je sens mon sexe nu sous ma serviette couler sur mes cuisses.Elle verrouille la porte, ses yeux me brûlent, sans dire un mot elle s’avance vers moi, sans se soucier de la distance de sécurité on n’est plus à ça prêt. Je ne peux pas être plus coincée dans le coin, me rendant compte que j’aime être aussi vulnérable. Emilie face à moi a laissé échapper sa serviette avec une moue disant ”oups”, avant que ses mains défassent le ”nœud” de ma serviette pour la faire tomber à mes pieds.Sa poitrine rentre en contact avec la mienne, ses mains sur mes bras, elle est venue me chuchoter à l’oreille ”tu m’as manqué”. Sa bouche a trouvé la mienne avec force et envie. Mon sexe pulsais comme rarement avant cela, j’étais offerte, encore une nouvelle sensation.Une main sur ma joue, l’autre sur ma hanche, elle a pris ma bouche sans ménagements, pressant nos corps nus fort l’un contre l’autre, sa peau douce et chaude me faisais vibrer. Un long baisé langoureux, le goût de sa bouche, de sa langue et le parfum de shampoing qui nous entourait, si intense que j’ai failli laissé échapper un grognement. ”Chut” m’as demandé Emilie avec un regard chaud et complice en haussant les sourcils pour se mordre la lèvre, avant de relâcher son emprise, pour se changer en vitesse avant de sortir.Je suis sans dessus dessous, cette douche n’a servi à rien, je suis en nage et mon string propre est déjà trempé de désir. Quand j’arrive pour rejoindre le groupe, les filles sont en grande discussion. Elle est là au milieu du groupe toujours aussi détendue (elle m’agace en me faisant fondre en même temps). J’apprends qu’elle organise une soirée…demain.Je n’ai pas dit un mot sur tout le chemin du retour, épuisée et toujours aussi excitée, cette sorcière me torture, elle m’a envoûté. Vite la salle de bains que je puisse faire couler de l’eau sur ma peau et ailleurs aussi.

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