Un matin de Septembre, forêt de Fontainebleau, c’est l’époque et le lieu où l’on cherche des champignons. La sécheresse les rend rares mais outre quelques cèpes j’ai trouvé autre chose.
Après avoir erré dans les sous-bois plusieurs heures, j’abandonne ma recherche et coupe au plus court à travers bois pour rejoindre la route. Devant moi, deux silhouettes assises sur un monticule de branches. C’est un couple que j’avais croisé précédemment et qui m’avait salué très aimablement. Ils me regardent arriver et me saluent à nouveau avec une certaine insistance quand j’arrive à leur hauteur.
Je m’arrête pour leur répondre et les détaille un peu mieux: soixantaine épanouie tous les deux, lui un look d’empereur romain et elle belle prestance bourgeoise avec quelque chose de voluptueux, un décolleté que j’imagine vertigineux et une jupe ample qu’elle a retroussée sur ses genoux; je ne peux pas m’empêcher de regarder ses jambes, assez belles d’ailleurs et elle a certainement suivi mon regard.
” Vous avez trouvé quelque chose d’intéressant?” L’homme semble vouloir nouer la conversation. Pourquoi pas: il ont l’air sympa et je ne suis pas pressé.
” Non hélas; c’est trop sec. Juste 4 ou 5 cèpes.”
Et je m’accroupis pour poser mon sac par terre et leur montrer ma maigre récolte.
En relevant les yeux mon regard passe sur les jambes de la dame; dans ma position, j’ai une vue directe sur ses cuisses largement découvertes. Gêné, je n’ose pas m’attarder mais il me faut faire un effort pour regarder ailleurs. Ailleurs, c’est ses yeux à elle et indiscutablement ils invitent. Sourires, regards qui se croisent, qui se détournent, qui se retrouvent, fugaces mais insistants…une langue sensuelle qu’elle passe sur ses lèvres et dans le même mouvement elle écarte franchement les cuisses. Choc! Elle ne porte rien sous sa jupe; je ne vois pas sa fente mais elle s’arrange pour que je vois ses poils. Je suis fasciné par ce qu’elle montre; fasciné et gêné par la présence de son époux mais cette fois je ne peux pas regarder ailleurs.
Tout ça a duré moins d’une minute mais je suis tendu et excité et j’ai les mains qui tremblent. Cette femme inconnue et troublante, l’isolement du sous-bois, l’invitation muette et pressante, peut-être aussi, la présence du mari, tout ça m’excite, m’affole; j’ai chaud, je dois être rouge, je bande un peu dans mon jean et ça me fait mal. Toujours accroupis, les yeux fixés sur sa chatte que je devine, que j’essaye d’imaginer humide et ouverte, je ne veux surtout pas me relever pour ne pas perdre le spectacle. Il faut que je trouve quelque chose à dire.
C’est lui qui trouve. ” En effet, vous n’en avez pas trouvé beaucoup. Mais il y a d’autres trésors dans la forêt vous savez?”
Il faut bien que je tourne les yeux vers lui. Il a tout suivi, bien sûr, et il me sourit avec une sorte de complicité.
” Comment la trouvez vous? Elle est belle non? Vous les voyez ses trésors? Elle aime les offrir aux gens qui lui plaisent, profitez en.”
C’est direct, c’est un peu surprenant mais c’est engageant et ça brise en moi le vernis de civilité qui me retenait.
Puis il se penche vers moi qui suis toujours accroupis à leurs pieds et murmure ” Elle bycasino a envie de vous. Elle me l’a dit tout à l’heure quand nous nous sommes croisés et depuis nous fantasmons sur vous. Je sais que vous avez envie d’elle aussi…et j’aimerais que vous la preniez devant moi.”
Elle me regarde toujours avec une sorte de tendresse et m’invite du même sourire. Elle s’est un penchée en arrière et écarté ses cuisses complètement. Je devine sa fente, rose sous une toison brune; j’imagine qu’elle mouille et j’ai envie de la voir encore mieux, de connaître son goût et son odeur, d’entendre ses soupirs, de savoir la forme de son clitoris et de ses lèvres.
Je me retrouve à genoux entre ses jambes, le visage entre ses cuisses et je sens son parfum. Son mari s’est levé et est venu s’accroupir à coté de moi pour la regarder aussi. C’est extrêmement excitant qu’il soit là, à m’offrir sa femme avec une complicité douce et je ressens très fort le trouble que nous partageons.
Il me pose une main sur l’épaule et dans un murmure rauque m’invite à la toucher. Tout à mon envie de prolonger le spectacle, je ne réagis pas immédiatement et il me prend la main doucement et fermement pour la diriger vers les cuisses ouvertes comme un écrin sur un bijou.
Je la touche…Je caresse d’abord l’intérieur de ses cuisses, puis du bout de mes pouces j’écarte ses lèvres. Elles sont roses et humides, plutôt petites et sous mes doigts elles s’entrouvrent sur son trou. J’essaye de faire durer cet instant magique de la découverte et très doucement je décalotte son clito; il pointe, gros et dur comme une petite queue. Elle a les yeux fermés et gémit un peu. Tout doucement elle se cambre et avance ses hanches vers moi. A côté, son mari souffle bruyamment. Il ouvert son pantalon et se masturbe dedans.
En deux temps trois mouvements j’ai baissé mon jean et sorti ma queue; je bande comme un taureau et je suis aussi mouillé qu’elle. Tout en me décalottant lentement, j’avance ma bouche vers sa chatte et me jette sur elle presque goulûment. Je plonge ma langue dans un nectar de désir, chaud, humide, un peu sucré; j’aspire son clito et le tète avidement, je fouille ses lèvres, j’explore son trou, pendant qu’elle tient ma tête et qu’elle la presse sur son sexe. J’ai envie de la mordre, j’ai envie qu’elle m’inonde…et elle jouit avec un râle si fort qu’il m’a surpris. Elle se balance d’avant en arrière avec violence et son cri n’en finit pas de faire vibrer la forêt.
Elle tient ma tête si fort que je m’étouffe et après une bonne minute s’apaise enfin et me relâche pour s’affaisser alanguie, palpitante et essoufflée.
” Oh c’était…c’était…c’était…Oh la la!”
Je ne me rappelle pas avoir déjà mérité un tel compliment.
Son mari a sorti sa queue et se branle frénétiquement; il est rouge de désir et répète plusieurs fois ” Il ne faut pas que je jouisse, pas maintenant…” A qui dit-il ça?
Elle a rouvert les yeux et me regarde avec étonnement, encore essoufflée. Elle ouvre son corsage et laisse sortir ses seins, gros et lourds et les caresses un moment en me regardant. Puis elle me dit avidement :” Baise moi maintenant, prend moi en levrette. Fais moi encore jouir, bycasino giris défonce moi.” Retroussant sa jupe sur des fesses peines et rondes elle se met à quatre pattes, la tête presque à terre et offre sa vulve gonflée et humide au regard des deux hommes qui se branlent en l’admirant.
” Jean, prend sa grosse queue et mets la dans ma chatte.”
” Viens, prends la, me dit-il” et il me pousse vers le trou qui m’attend. Il prend ma queue dans une main chaude et douce et me décalotte à fond. Puis il la guide dans la chatte de sa femme et quand elle est juste au bord il pousse sur mes reins.
” Vas y, baise la. Elle est belle ta queue, elle va la faire jouir?.”
Il accompagne mes va-et-vient en poussant mes reins et tout en continuant à se branler il regarde avidement ma bite qui entre et qui sort.
Le clapotis humide de nos sexes le met en transe: ” Ecoute ce bruit. C’est le bruit de son plaisir; elle mouille; elle aime ça. Fais lui du bien.”
Il lâche mes reins pour lui caresser les seins et il semble savoir s’y prendre: elle jouit à nouveau avec le même rugissement étouffé sur un oui langoureux; puis elle jouit encore et encore, au moins 4 fois presque sans discontinuer.
Je n’en peux plus. Je ruisselle de sueur et les brindilles me labourent les rotules. Je suis au bord de l’orgasme depuis un bon moment et je parviens de justesse à me contrôler.
” Excusez moi, j’arrête un instant…” et je m’écroule à bout de souffle dans les fougères.
Elle se relève et viens se pencher sur moi pour embrasser mes lèvres avec une violence contenue. ” Oh c’était bon tu sais. Elle est bonne ta queue, je veux l’avoir un peu maintenant. ” Elle se penche pour me sucer mais on mari intervient:
– Non laisse la moi, elle a le goût de ta chatte maintenant je ne veux pas rater ça.
Et s’adressant à moi: ” Ca te gêne si je te suce? J’en ai très envie. Tu as déjà été sucé par un homme?
– Non je n’ai jamais été sucé par un homme, mais ça ne me gêne pas. Suce moi.
Je crois que rien ne m’aurait gêné à ce moment là, ni la fin du monde, ni les caméras de TF1.
Je me mets sur le dos. Il engloutit ma queue et se met à me sucer avec un savoir faire étonnant que peu de femmes possèdent, tout en me tripotant les couilles. Sa femme vient se mettre à califourchon au dessus de mon visage et se branle le clito en m’offrant sa chatte:
– Tu aimes regarder ma chatte hein, alors regarde la, tu l’a méritée. Regarde ce que je lui fais, je vais la faire jouir pour toi et couler sur ton visage.
Son orgasme arrive brusquement, aussi violent que les autres. Elle se rejette en arrière avec son râle puissant et enfonce deux de ses doigts au plus profond de son vagin.
Je suis au bord de l’explosion. Jean me suce avec avidité et à une ou deux reprises j’ai juste le temps de l’arrêter avant qu’il me fasse jouir. Depuis combien de temps sommes nous là? Un heure? Deux? Je ne sais plus. J’ai rarement été aussi excité et l’idée absurde que mon coeur va craquer me traverse l’esprit.
Je me dégage doucement de l’étreinte de Jean en relevant sa tête et je demande de “faire un break”.
” Tu as bien travaillé me dit Jean. Tu bycasino giriş vas te reposer maintenant. C’est Colette qui fera tout.”
Et comme je suis toujours sur le dos, elle vient s”empaler sur ma queue, accroupie sur mon ventre comme si elle allait pisser. J’ai soudain envie qu’elle le fasse, qu’elle pisse sur moi pendant que je regarde son jet gicler, qu’elle m’arrose de ses ondes, comme une femme se fait inonder de sperme. Et je le leur dit:
– Je voudrais qu’elle pisse sur moi.
– C’est un jeu que nous aimons aussi me dit Jean, mais pas ici. Ca ne s’y prête pas. Tu viendras chez nous et là nous pourrons le faire.
Accroupie sur moi, Colette continue son va-et-vient de grands balancements de hanches. Jean se branle d’une main et de l’autre lui caresse les seins. Ils sont presque face à face et se regardent intensément avec une tendresse que moi-même je perçois. Leurs visages se rapprochent sans que leurs yeux se quittent et leurs lèvres se rejoignent dans un mouvement très lent d’une immense sensualité.
Ils ont jouit presque ensemble. Colette d’abord d’un cri de poitrine qu’on a senti monter et aussitôt, Jean a explosé dans une éjaculation interminable accompagnée d’un tremblement incoercible.
Brutalement, avant même d’avoir fini de jouir Colette s’est dégagée en suppliant: ” Pas dans ma chatte, pas cette fois-ci; plus tard.”
Elle sentait bien que c’était mon tour et que j’allais les accompagner dans l’éclair rouge. Avec douceur elle s’empare de mes couilles qu’elle tripote en experte et m’invite à jouir à mon tour:
– Vide tes couilles mon chéri. Branle toi et fais toi jouir dans mes mains, pour nous deux que tu as si bien contentés…
Et ça a été l’orgasme, vertige étourdissant tourbillon sans fond qui m’aspire, qui m’aspire…
…Plus tard, après un ménage sommaire pour retirer les feuilles, les brindilles et les liquides indéfinis, nous avons bavardé un peu. Ils m’ont demandé mon prénom, mon âge. Je leur ai posé quelques questions sur eux, nous avons échangé nos adresses et Jean m’a invité à revenir les voir.
– Je ne sais pas pour Colette, mais moi, j’aimerais qu’on recommence avec toi. Nous avons déjà eu d’autres partenaires mais tu es le premier à la faire jouir autant. Et tu regarde sa chatte avec une telle dévotion…Et puis, tu es le premier qui s’offre à moi. Ca t’a gêné?
– Non, pas du tout. C’est la première fois que ça m’arrive et je dois dire que c’était très bon. Tu suces mieux qu’une femme tu sais… Mais dis moi, Colette, pourquoi t’es tu dégagée brutalement à la fin, je t’ai fais mal?
– Pas du tout chéri. Au contraire, c’était super d’un bout l’autre. Non, simplement, jouir dans ma chatte, c’est réservé à Jean. A toi peut-être un jour, mais je ne te connais pas…Et puis d’un seul coup, j’ai pensé au SIDA, je ne sais pas pourquoi et j’ai eu peur. Encore une fois, on ne se connaît pas et on aurait pu prendre un peu plus de précautions.
Je dois admettre qu’ils m’ont pris au dépourvu tous les deux et que pas un instant l’idée ne m’est venue de mettre une capote…que d’ailleurs je n’avais pas.
On ne pense pas à tout quand on va aux champignons.
Nous nous sommes séparés en sachant que nous brisions un enchantement qui ne reviendra plus: celui de la première fois. Mais nous nous sommes revus plusieurs fois avec autant de furie et aussi peu de tabous.
Cette année, même s’il ne pleut pas, je retournerai aux champignons… Mais j’espère trouver autre chose.