Mûres9/Brigitte,73,pinée dans la bouche!Tout a commencé lorsque je fourrais tranquillement ma jolie et fine Marlène, fleur fraîche ne faisant pas ses 60 ans.Un missionnaire tout en lenteur, goûtant les élancements assourdis d’un feu qui couve. Ma grosse queue était agréablement accueillie par le vagin de cette beauté rousse.Mon oeil se délectait de ses traits délicats, de sa couronne de cheveux bouclés qui lui faisaient une auréole sur l’oreiller, de ses regards évanouis, de sa bouche entr’ouverte appelant le baiser.Marlène murmure des obscénités. Elle me parle de Solange, qu’elle connaît bien.La poitrine généreuse de la petite dame autoritaire et sophistiquée nourrit ses fantasmes.Malgré une légitime jalousie, elle ne pouvait s’empêcher, même pendant notre passagère séparation, de se faire jouir en imaginant la vieille dame toute nue, à quatre pattes, les gros seins qui ballotent sous l’impulsion de mes coups de queue.Cette queue qu’elle apprécie, pinant la femme d’affaires, tandis que je m’agrippe à ses hanches, que je m’agite frénétiquement contre ses grosses fesses rebondies.Je dois réfréner son imagination lorsqu’elle se représente ma queue en extase sous les coups de lange salaces de la vieille dame.-Celle qui m’a vraiment bien léché, ce n’est pas Solange, c’est Brigitte.Marlène ne respire plus. Le temps s’arrête.Elle sait que j’ai vécu plus de deux ans avec Brigitte, petite dame blonde d’allure moralisatrice, féminine et distinguée, portant fièrement ses 73 ans et son bahis siteleri immense chignon de cheveux blonds.Dans ses fantasmes, Marlène s’est toujours focalisées sur les seins et le gros cul de Solange.Elle n’a jamais remarqué le potentiel de Brigitte en parlant avec elle. Brigitte…Menue, de jolies formes, notamment un joli petit cul bien arrondi.Autoritaire, possessive jusqu’à la folie. Des idées raides, des jugements, de la culture…et dans des moments bien circonscrits, la meilleure des salopes.-Elle ..t’a…bien léché? balbutie Marlène qui n’en revient pas, et qui vient de basculer dans un état d’excitation qui ne nous quittera plus lorsque nous aborderons ce sujet.Je me souviens de cette phrase, “elle t’a bien léché”, phrase incrédule…Brigitte…lécher? La langue de Brigitte sur mes couilles? Brigitte pleine de sperme?Marlène s’amollit, comme si le sol avait cédé sous ses pas. Comme si elle était tombée brusquement dans un marécage vicieux, ce qui était le cas.Je lui raconte.A 73 ans, Brigitte se déchaîne. Cette femme qui ressemble à une institutrice anglaise à la belle époque abuse du pouvoir de sa langue, une langue mobile et douce qui me procure d’immenses jouissances.une femme qui, toute sa vie, a construit ce personnage bien intégré dans les canevas de la société, cultivant les idées les plus inflexibles de la morale et des croyances, qui se tient toute droite, qui pose un oeil fier et facilement réprobateur sur tout ce qu’elle ne connaît pas, mais qui canlı bahis siteleri s’épanouit en devenant une chienne de sexe avec un jeune homme.Brigeou…petite grand mère proprette, enculée tous les jours. Brigitte fourrée pleine de foutre.Je bande toujours rien qu’en évoquant son prénom.-Une bonne suceuse? me questionne Marlène.Nous nous désenboîtons pour mieux nous parler, tout en nous branlant.-Plutôt une bonne lécheuse. Je t’expliquerai la nuance. Ah! Ce que ma queue a pu jouir grâce à sa langue. ça a commencé dès la toute première fois.-Raconte-moi la première fois. Elle s’est donnée tout de suite?-Non, j’ai eu du mal à l’aborder. Elle est très hypocrite, et ne s’assume pas. Elle est arrivée intentionnellement en retard à notre premier rendez-vous. Nous avons parlé d’art, confortablement assis dans le grands canapés d’un hall d’hôtel. Nous avons dîné, tout aussi courtoisement. Il a fallu plusieurs rendez-vous pour arriver jusqu’au bisou dans le cou, lequel a fait rapidement basculer ses défenses.Nos longs baisers langoureux devaient surprendre les passants. La dame âgée distinguée, avec son grand chignon, qui roule des pelles à son petit neveu? Je me demande ce qu’ils pouvaient bien penser.Chez elle, je lui palpais les seins. Sa langue envahissait ma bouche avec une douce fureur. Pour une raison qui m’échappe, elle ne voulait pas tout de suite m’emmener dans son lit. Elle me proposa une sorte de sieste sur un canapé. Tout habillés, nous nous roulions des canlı bahis pelles à n’en plus finir. Le désir montait en nous avec une force de tempête. Le moment était venu pour jouir de nos sexes.Elle m’entraîna dans la pièce voisine, sa chambre à coucher. Jolie pièce avec des rideaux à embrasses, des armoires blanches, un lit tout blanc. Assise sur le lit, elle se déshabille en me tournant le dos. Son chignon, la douceur de sa peau. De mon côté, je me mets nu avec fébrilité. Mon sexe est fringant de raideur.Elle se retourne. Son regard reste un moment sur ma bonne queue. Je découvre sa vulve discrète, et sa fine pilosité de blonde mûre. Jolie chatte de la vieille dame, bientôt offerte à ma bite qui se réjouit déjà. Je désire la goûter. Je lèche Brigitte.Je ne sais pas si je suis très efficace.Elle me dit gentiment: viens, plus haut.Je me relève, à genoux, la bite au niveau de son ventre.-Plus haut…. plus haut…Sa tête repose sur l’oreiller. Elle veut recevoir la queue dans la bouche.Mon membre va et vient entre les lèvres de la jolie vieille dame, dans ce décor nacré, irréel, toute cette blancheur qui rend sa blondeur encore plus chic.Première pénétration, premier rapport sexuel: ma queue dans sa bouche.J’aurais pu continuer, et gicler dans sa bouche, comme je l’ai fait tellement de fois par la suite.La voix de la raison me poussa néanmoins à pénétrer son vagin.Ah! Je pinais enfin cette dame qui me semblait inaccessible il n’y a pas si longtemps.Quel tableau inattendu, quelle jouissance hors des moules de la société.-Viens, baise-moi, dit simplement Marlène.Putain, ce que ça m’a excité de lui parler de Brigitte. Ce n’est qu’une mise en train, avant de nombreux épisodes qui nous feront jouir intensément