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Solange et Lola – Collection Histoires vécues

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Solange et Lola – Collection Histoires vécuesLola c’est une rencontre d’un soir, un bijou dont je suis tombée en amour… Ce genre de femme qui semble hanter depuis toujours tes rêves innocents… Mes rêves de lesbienne…Patou est repartie, et moi, Solange j’ai repris ma vie de divorcée, l’œil aux aguets…Quelques semaines après la rentrée, voici une soirée qui se profile au bureau, un cadre qui fête dignement sa retraite et invite les services pour une soirée festive dans un établissement à la campagne. 20 chambres sont retenues en argumentant qu’il ne veut pas nous voir à l’hôpital, alors boire oui, mais dodo sur place, à nous à nous arranger avec 40 places réparties…Il a fait les choses en grand, les chambres sont attribuées par services, je suis avec ma copine Irma, gentille mais tristounette, célibataire, mais pour une nuit…La soirée par elle -même est réussie, tout le monde participe à l’ambiance, et je remarque, en dansant, une jolie brunette qui m’est inconnue…-Ah, sa fille ?Pourtant je le connais bien ce retraité veinard… Nous avons maintes fois réunionné ensemble, petit-déjeuner aussi… Sa fille c’est celle qui danse et met le feu aux commerciaux devant nous, et même derrière, car certains aimeraient bien la coincer dans l’arrière-salle…Bref, je surveille, mais Lola semble bien gérer ses effets ravageurs, ne se laisse pas marcher sur les pieds et remet certains en place vertement…-Ils sont collants ce soir !-Oh, oui, je savais tout ça, je suis en stage, mon père m’a laissée en gage…-Ah ! Joli… Je suis Solange, je veille un peu sur la moralité…-Oui, il y en a besoin. J’ai eu droit à des propos si verts que j’en ai rougi !…-C’est qui ?-Non, je sais me sortir de toutes les situations, quand je leur dis à la fin, quand ils insistent trop lourdement, que je n’aime que les jolies femmes, ils sont tout penauds, et restent la queue entre les jambes…-Ils débitent des injures parfois…-Oui ! Tu sais ça…-Je suis de la même veine… Depuis mon divorce, j’aime la tendresse et la féminité…-Moi, c’est après mes 25 ans, que j’ai tourné la page à la suite d’une déception, et me voilà à 30, cherchant dans mes soirées de drague, celle qui me fera vibrer le soir…-Ne cherche plus pour ce soir, si tu n’as rien trouvé…-Non, pas trouvé, mais je te regardais de loin, et ta prestance m’intriguait… J’aime ton genre… Oui, je sais, j’aime tous les genres, mais le tien me titille, BC-BG, tailleur, humour et sûre d’elle…-Oui, parfois moins sûre…-Ils le savent ici ?-Non, je suis cadre et c’est rare que je côtoie le personnel… J’aime chasser sur mes îles, avec mon bateau, espérer rencontrer un loups de mer solitaire, un marin en panne de sirène…-Tu m’intéresses… Et me fais envie… Solange, serais-tu mon prochain ange ?-Lola, on ne sait jamais comment le loup va te manger… Tu es seule dans la vie ?-Oui… Et ici aussi… Il m’a mise dans une chambre avec une duègne… Ma tante Annie… Celle de la Régie… Oh, gentille… Tu la vois là-bas, avec le staff des VIP…-Oui, je la connais, charmante et dangereuse, mariée, mais ouverte à toute proposition à ce qu’on dit…-Exact, elle n’a pas froid aux yeux tatie… Son mari n’est pas là, donc elle se lâche ce soir… Éric c’est son beau-frère, alors tout est possible, on verra vers minuit… Reste avec moi, on va rire un peu…-Éric, ton père, était marié, non ?-Oui, était… 6 mois qu’il entretient une jeunesse… Je n’existe plus, ma mère est partie avec un ennemi, un concurrent… J’ai mon studio, cela me suffit, indépendante et mon père fait sa vie… Il te plait ?-Oh, non pas mon genre… -Tu ne trouveras pas de marin ce soir, ou bien, il sera bien caché…-Je t’ai dit que parfois j’aime aussi les sirènes…-Viens, on sort un peu…L’air frais nous fait du bien, nous marchons… Puis nous trouvons un banc accueillant… Elle est gaie, jolie, habillée avec goût, robe noire décolletée, escarpins pour danser, un petit sac en bandoulière… La nuit nous entoure et les étoiles nous sourient, elle aussi…Notre baiser est toute douceur et je me sens emportée par son parfum, enivrée par cette jeunesse… On se rapproche, on se serre l’une contre l’autre, on s’embrasse avec passion…-Tu es douce… Je suis en train de craquer… On va nous voir…-On va chez moi ? J’en ai envie aussi…-Tatie va s’inquiéter…-Non, ni Papa, il me connait… Solitaire et sauvage…Son studio est à deux pas, en pleine campagne, un petit immeuble charmant, hyper sécurisé, garage, et nous voilà l’une contre l’autre dans ce petit bonbon, ses mains me mettent nue, elle l’est déjà contre moi…-Tu veux la chambre ou le salon ? -Je veux toi…Sa main glisse entre mes cuisses, sa bouche tête un téton, je caresse sa belle croupe, elle m’entraîne… On glisse, on se cherche, on ouvre nos cuisses et on se découvre…Elle s’est abandonnée, ouverte et pure, ma tête entre ses cuisses, mes mains emprisonnent ses seins, et la font gémir, en titillant les pointes dressées de désir…Elle découvre mon intimité et je m’envole… Sa douceur, cette plume de langue, qui savoure ma vulve, s’attarde sur mon clito, caresse ma vallée, visite mes coins secrets, et mes doigts qui la renversent, la font jouir en premier, quelle entente !… Quelle tendresse !… Nous échangeons nos places, tantôt dessus, et puis dessous, je passe des instants bien agréables, le souffle court, et mes râles traduisent mon plaisir.Nos sexes sont emboîtés, on se frotte l’une à l’autre, jouissant sans complexe et pour la première fois, ensemble…Je fais le tour de ses seins, mordillant à loisir, puis, caressante, ma tête sur ses globes, comme une enfant… J’aime la prendre dans mes bras et la bercer, sentir sa vulve s’ouvrir sous mes doigts et s’offrir encore, en gémissant de désir… Je sens alors sa moiteur avaler mes doigts, et se mettre à jouir avec, s’en délectant… Elle m’appelle, elle me veut et je la prends de plus belle, glissant dans son vagin détrempé, pour lui offrir un orgasme princier…Elle me rend ma caresse, je m’abandonne à mon tour dans ses bras, sa langue m’emporte vers d’autres nuages, vers des contrées magiques, et ses doigts vont bon train, mettant le feu en moi, provocant mes orgasmes et me laissant sans voix, écartelée pour elle…Un moment de repos, lovées l’une dans l’autre, puis un verre de jus de fruit, un peu de Vodka aussi, et le ciel est plus clair…J’aime son sourire, il me rassure, il me dit qu’elle est bien dans mes bras, et aime notre rencontre…-Je suis bien, j’avais peur, mais tu es güvenilir bahis comme moi, tu aimes la femme, faire l’amour, son sexe, la ménager, la faire jouir, partager ses orgasmes, jouir autant que faire jouir…-Oui, je cherche la plénitude, une entente, cette tendresse que tu m’as donnée… Je suis bien contre toi… Dans tes bras, je me sens détendue, en sécurité, j’ai envie de te manger, de te lécher, de t’entendre jouir…Et nous recommençons… Plongées en apnées, tantôt directrice, tantôt soumise, mon sexe est ouvert contre le sien et je sens qu’elle me veut, qu’elle va aussi jouir, se frottant contre le mien…-Oh, oui… C’est bon… Fais-moi vibrer, je te sens me prendre, nos sexes se confondent pour jouir ensemble…-Tiens, viens encore, frotte-toi lentement, je coule de plaisir… Je jouis en même temps…On se tord, on s’embrasse, et nos bouches cherchent nos vulves et viennent se délecter de l’autre, tête bêche, écartelées pour mieux se laisser pénétrer par la langue, puis les doigts qui viennent exploser nos chattes, plongeant dans nos vagins, et venant arracher d’autres orgasmes et des sensations inouïes… Elle se cambre et jouit, tremble entre mes doigts, pousse des cris de lionne, s’offrant au maximum pour retomber vidée, heureuse et en sueur…C’est après cet épisode qu’elle me fait le grand jeu…Ses doigts ouvrant ma porte arrière et se délectant de mon derrière, puis plongeant sans relâche dans mon fondement excité…-Oh, oui, Lola… Fais-moi jouir par-là… Prends-moi… J’aime être soumise, vibrer de tout mon être avec tes doigts en moi…-Fais-le moi aussi en même temps, j’aime partager ces instants… Quand on ressent ensemble les mêmes choses… Embrase-moi le cul, plonge dans mes entrailles et fais-moi la totale, par les deux orifices, j’aime crier mon plaisir de les sentir ensemble…Lola devient tigresse, puis sagesse, et tout au long de la nuit nos corps deviennent chiffons, et on joue comme quand nous étions petites, avec le corps de l’autre, mais ces jeux nous étaient inconnus, ces pratiques illicites, et notre plaisir bien loin de celui qui nous transforme, autant que nos paroles qui l’accompagnent…Cette nuit avec Lola fut la première, la révélation d’une amitié parfaite. Elle ne cherchait qu’un alter-ego, avec qui partager ses fantasmes. Moi cela me convenait, c’est là qu’elle commença à se livrer, me racontant des détails sur sa vie sexuelle, partagea ses souvenirs, parfois en eut honte, mais me bouleversa à tel point que je ne résiste pas à vous les confier…Après la fac, Lola trouva un emploi rapidement, à Marseille, dans un cabinet notarial. Elle y fit ses armes, la première année, obtint des félicitations pour son travail, puis son statut changea lorsqu’elle accepta les avances de son mentor… La cinquantaine, vicieux, marié pour la communauté, mais libertin… Cette découverte ouvrit ses chakras, et ses aventures sexuelles devinrent des parties fines, dans le must des gens du monde…Adieu les baises en bagnole, bonjour les hôtels de campagne, les manoirs, les caves voutées, le BDSM, qu’elle n’apprécia que modérément. Elle préféra les rapports en chaîne, dans des lits de soie, des donzelles de 20 à 60 ans et plus parfois, et les braquemarts en folie d’hommes aux mœurs désunis…Ambiances ouatées, culotte de soie, robes échancrées, seins en beauté, réhaussés, pas question de dire non à une main qui traîne, un geste très déplacé, bien au contraire, encourager, faire semblant d’être outrée du comportement, et dès la caresse effective, se libérer en minaudant comme si c’était la première fois…Elle me raconta ses premières fois, son notaire notant ses progrès flagrants, s’adjugea son clerc comme bras droit ou plutôt cuisse droite, surtout en dehors des heures de travail…-Il avait un chibre du tonnerre, une bite de roi, et quand il me prenait sur la large table de l’étude, bien fermée à clé, ses yeux devenaient rouges, comme injectés de sang, sa moustache ondulait et sa bite me défonçait comme un marteau-piqueur jusqu’à ce qu’il expulse un litre de semence, sur le bois précieux et même sur des dossiers quand il était en rut…Lors de leurs soirées, chez le notaire ou chez des amis, elle était accueillie avec un large sourire, lorsqu’il la présentait comme sa nièce… -Une des premières fois, j’avais 25 ans, je multipliais alors les aventures depuis mes 17 ans, me donnant chaque samedi en pâture, à des amants de rencontre… Ces soirées me mirent en transe, et je devins accro… Troussée, coincée, caressée, dépoitraillée, par un ou plusieurs hommes de classe, quelquefois des femmes s’y mêlaient, s’offrant comme un cadeau à la soirée, acceptant tout et même pire…-Jamais d’ennui, de saouleries ?-Non, ils étaient très courtois, baisaient dans tous les sens, partout, ensemble, mélangés, échangeant leurs proies, dictant leurs lois parfois, mais sans brusquer et sans v******e, en toute simplicité d’adultes consentants… J’en ai pris plein la chatte, plusieurs queues ensemble, plantées sans ménagement, qui me faisaient valser et faire le grand écart, chevaucher mes amants, crier comme il se doit, tandis que je sentais des doigts dans mon derrière… Ma bouche était très demandée, et des chattes vicieuses venaient quémander l’honneur d’être pourléchées par la nièce du Notaire…Il y avait d’autres gens du métier, mais aussi des politiciens, des notables, parfois ils venaient en couple, ne sachant qui trompait l’autre… Madame de la Haute, étant pudibonde, se refusait à son mari, hors de sa chambre conjugale. Elle préférait les mains hardies des enfants de cœur dans l’église, quand elle quittait sa robe trop voyante au profil d’une chasuble, ou l’obscurité complice des séances du ciné-club de Monsieur le Proviseur et les ados très curieux, qui venaient caresser sans complexe, ses seins et son sexe, tout en se masturbant en regardant le film, la laissant sur sa faim… Elle mettait alors beaucoup de temps pour ranger le projecteur et balayer la salle, Monsieur le Proviseur aimait l’ordre, les chaises étant rangées, le balais essuyé, il la regardait dans les yeux, la serrait dans ses bras, et lui donnait un baiser, en caressant ses seins, puis son pubis pour savoir si ses ados avaient laissé des traces… Ce n’était jamais le cas. Pour elle c’était un jeu consenti, elle était trempée de désir après les caresses maladroites des jeunes garçons, et celles du Proviseur, bien plus précises et enivrantes, la mettaient güvenilir bahis siteleri en transe… Quand il sentait qu’elle était prête, il écartait sa culotte, effleurant juste ses trésors avec ses doigts, elle soulevait une cuisse, et il la prenait debout, savourant son fourreau détrempé qu’elle lui offrait en s’accrochant aux rayonnages… Après quelques allers-retours, il s’arrêtait, son sexe luisant dépassait de la braguette, elle lui souriait en se retournant et s’arcboutait sur la table, …Il notait l’heure de remise du matériel, et avant de ranger le carnet dans le tiroir et baissait son pantalon… Il la prenait en levrette, d’un seul coup, elle gémissait ravie, la robe retroussée, les fesses écartées, elle se laissait inséminer en se pinçant les seins, orgasmant sous les assauts répétés. Puis sentant le gros chibre changer d’orifice, elle se libérait en beuglant son plaisir d’être sodomisée jusqu’à ce qu’il jouisse une seconde fois, explosant sa rondelle, la laissant bras en croix, sur cette table massive qui fut avant, l’autel de la chapelle…Madame, émoustillée par ses moments d’intimité avec Monsieur le Proviseur, se lâchait sur les coussins moelleux des antichambres sombres, avec la bénédiction de son Notaire de mari, elle aimait les mains qui venaient caresser ce qu’elle gardait pour le Proviseur, puis excitée par l’ambiance, elle suçait à qui mieux-mieux les bites qui s’offraient, elle écartait ses grosses cuisses, pour en prendre plein son minou poilu et grand ouvert, tandis qu’une autre queue devenait prisonnière de ses seins jusqu’à ce que mort s’en suive… Alors elle se laissait transporter par des bras puissants, les fesses en l’air, puis sodomisée, ameutant par ses cris d’autres amateurs, qui venaient rejouer avec sa poitrine trempée de sperme, en attendant que sa chatte se libère, ou que son cul grand ouvert par un ami éconduit précédemment et qui venait de se venger haut la main, se retrouve libre d’accès et toujours si accueillant… Lola avait du mal à se souvenir de toutes ces confidence, mélangeant les soirées, les époques, les amants…Elle disait je, se mettant à la place des Dames patronnesses, des épouses infidèles, des femmes bafouées…Des « Madame De » comme ça, j’en ai croisé beaucoup, Sainte Nitouche de jour, salopes de la nuit, baisées par tous les trous dès les lumières éteintes, vociférant bien plus fort que ses cantiques pendant la messe, dans les salons douillets des hôtels particuliers du gratin de la ville, de tous bords, de tous poils, de toute religion, l’important c’est d’assouvir sa libido en déroute, qu’importe le flacon ou le sommelier… Elle avait la côte Madame De, robe dérobée, gaine dégainée, foufoune bien fournie, où l’on pouvait compter en fin de nuit, les poils restés secs… On n’entendait qu’elle et cela les excitait, surtout quand le comité s’agrandissait parfois, avec Madame Untel, nouvelle arrivée, ou une Dame Patronnesse qui à la cinquantaine n’avait plus aucun espoir et venait se faire lutiner en cachette du curé, jurant comme une truie, n’être qu’un jouet d’un soir…Paul, le notaire, Michel, le médecin, Yves le Maire, Nadine, élue et vétérinaire qui adorait les femmes, comme Maryse, la pharmacienne, Jean Avocat, Sylvain le chef de l’opposition, et les autres, ils se connaissaient, se détestaient en public, mais s’adoraient lorsqu’il fallait organiser une partie chez l’un ou l’autre, en toute discrétion, et que leurs femmes se retrouvaient chez la coiffeuse, prenant bien note de la date et de l’heure, pour ne manquer à aucun prix une occasion de se faire démonter par un des fils de ces pourceaux en rut…Oui, dans une ferme isolée, dans un salon secret, elles se réunissaient pour tromper alégrement leurs maris, remettant les compteurs à 0… Elles invitaient les hommes jeunes, quelques femmes demandeuses de pluralité, les oubliés des grandes soirées, dont certaines raffolaient, elles étaient une dizaine à battre la campagne et rameuter leurs troupes, surtout depuis Google et ses acolytes, les réseaux très sociaux, pour baiser en cachette…Elles laissaient les « Madame De » vider leurs maris, parfois à grand peine, dévoilant à la ronde leur culotte de soie, un verre de champagne à la main… Elles aimaient ces moments conviviaux, entendus, retrouvant leur jeunesse, où elles vivaient des instants de plaisir, qui avaient déserté leur lit conjugal… Elle se connaissaient, étaient devenues amies pour la cause, et mélangeaient les sexes, découvrant ou améliorant leur côté lesbien, avec des ténors de la bite, des dieux du foutre, elles jouissaient sans s’arrêter du début à la fin, épuisées en sortant, ivres de caresses, la chatte explosée, le cul encore ouvert… Certaines avaient du mal à parler pour dire « A la prochaine », mais se laissaient raccompagner par celui ou celle qui venait de la sauter… Parfois elles glissaient un billet à un étudiant, d’autres leur adresse mail ou leur portable privé, avec les coordonnées de la coiffeuse, complice des ébats extraconjugaux de ses clientes qui relayait les SMS des rendez-vous…Evidemment, la coiffeuse faisait aussi les hommes, ce qui facilitait les choses…Lola me confiait ses rencontres, les jours de mise en pli ou de teinture savante, Lola, c’était ma rapporteuse, mais aussi ma coiffeuse…Lola évoluait dans l’Elite citadine, et même au-delà… Elle était invitée jusque dans la capitale, pour des événements très particuliers et très secrets…Ambassades, consulats, s’arrachaient ses faveurs…-Un jour, j’ai reçu une lettre, marquée d’un sceau officiel de la République, me priant d’être présente un certain jour… Soirée festive, robe de créateur à choisir dans une boutique précisée…Je fis le déplacement, les frais étaient offerts, et mon Notaire étant oublié, j’avais l’esprit vagabond… 30 ans, je choisis un couturier connu, et une création divine, mon corps apparaissait et disparaissait au gré de mes mouvements… Transparences, masquées par une étole, je fis sensation… Les tables rassemblaient 10 convives, il y en avait une bonne trentaine… Soirée donnée en faveur d’une œuvre de charité, donateurs et mécènes se précipitaient, car les retombées médiatiques étaient immenses.Repas extra fin, entrecoupé de numéros et d’exhibitions, de chanteuses connues, et de discours orientés…Ma table comportait autant de femmes que d’hommes, soit 5 de chaque. J’étais la plus jeune, et la plus regardée… Ces messieurs iddaa siteleri qui m’encadraient étaient charmants, les yeux concupiscents, détaillaient ma tenue, devinaient le reste, et avec le vin, essayaient de tester…Main sur la cuisse droite, pied sur le mien, ceux d’en face avaient les mêmes à leur côté pourtant…Le premier à m’inviter à danser ne parlait qu’anglais, riche américain, il me serrait dans ses bras, je n’osais bredouiller…-Vous êtes magnifique, un appel aux dons, et j’aimerais verser en liquide, directement dans votre calice…-Ce n’est pas très gentleman d’aller ainsi au but, sans avoir avant, défini le contrat… Je suis ici pour mettre de l’ambiance, détendre l’atmosphère, égayer la soirée… Je ne suis pas un lot, une option incluse, dans une orgie mondaine…-Oh, je ne parle que peu français et je voulais vous inviter dans un endroit plus restreint… Intime… Pour signer le chèque à la communauté… Je vous ai choquée par mes mots mal choisis… Je le regrette… Pour me faire pardonner, venez dans la salon princier, je vous offre ce que vous désirez…Le salon c’est un appartement en duplex, avec SPA privé, large canapé ouvert sur la nature…Elle me dira avoir ressenti quelque chose en entrant et lorsqu’il il lui fit les honneurs de sa suite… Elle évoluait dans ce luxe, il sortit des écrins, lui fit voir des rivières de diamants et il bavait regardant ses seins en transparence, quand elle tendait la main, ou glissait sur le cuir blanc… Son pubis apparaissait quand elle montait les marches de l’escalier, ses fesses se dessinaient, il bavait de la voir…-Tu es princesse dans mon pays, tu le sais ?-Tu n’es pas américain ?-Non, une île, sauvage, à moi, je suis un pays… Et toi tu es mon radeau…Ses yeux sont insondables, ils me transportent, et sa main qui prend la mienne, me guide vers le balcon privé, le spa est prêt…-Je n’ai pas de maillot…-Ce serait une offense que de cacher quoi que soit…Il détourne son regard et je me déshabille et entre dans l’eau, dissimulée par les bulles, il approche, son sexe en avant…Je ne vois plus que ça… Cette bite qui plonge près de moi, et ma main qui la cherche, ses lèvres sur les miennes, je suis écartelée, il me pénètre déjà, mes cuisses s’enroulent autour de lui, il me prend, je me prends, il est gros, plein, direct, dur, et j’ai envie de lui…Qu’il est bon… Les yeux plongent dans le miens, il investit mon ventre…Il masse mes seins, mes tétons s’en ressentent…Il vient sucer le bout, je sens couler ma chatte…Je l’att**** par le cou, frottant mes seins contre lui…Il me reprend d’un coup, son dard décuple mon vagin, pousse encore, et je jouis en scandant ses coups de reins, traversée par des ondes orgasmiques qui me font crier de plaisir, jusqu’à l’extase…Il me sort de l’eau avec ses bras puissants, monte les escaliers pour m’allonger dans un lit immense, doux et souple, où il écarte mes cuisses et plonge dans mon calice, lapant mes sucs sexuels, massant mes seins, et je jouis de lui, de moi, de ses mains, de son membre que je voulais à moi, plantée en amazone, délirant mes orgasmes, jusqu’à perdre la face…Nue, les bras ouverts, écartelée à sa vue, offerte comme Eve, il tourne autour de moi, savoure sa conquête, le dard toujours tendu, prêt à refaire la fête…Dans son pays de rêves, son île paradisiaque, il doit choisir chaque soir celle qui sera à lui…Je me suis relevée et j’ai attrapé sa verge. Je la suce sans complexes, m’aidant de mes mains, coulissant ce dard puissant, léchant comme une enfant, puis le mettant en bouche, et le portant au fond, délicatement douce, son bassin ondule, il me le plante en bouche, excité et heureux de trouver du plaisir…Ses femmes poissons, ne savent pas les arcanes du sexe et je m’emploie à réparer leurs lacunes, m’étouffant presque à le vouloir jusqu’au fond de ma gorge, mes doigts en anneau, continuant le ballet torride d’une fellation annoncée… Il bouge, il grogne, il avance et recule, et son sperme princier gicle sur ma langue, puis en sortant, me remplit la face d’un fard bien trop liquide, qui s’écoule sur mes seins où il vient le lécher…Arrivent alors trois jeunes filles exotiques, qui se collent à nous, chacune dans sa partie, les seins, la chatte, le pieu déjà sollicité…Deux vestales me passent de l’huile partout sur le corps, une huile parfumée, une onde de fraîcheur, une autre s’emploie à animer sa bite et lui masser les bourses…Mes seins sont honorés, oints, et mon ventre massé, puis le pubis et ma chatte… Elles se font velours, par leurs langues étroites, qui se glissent en moi, réveillant mes émois… Mon dos est préparé, défatigué, et plus aucune partie de mon corps ne leur échappe, jusqu’à ce que je sente une vulve sur la mienne, qui me transmet le plus agréable des messages, je ressens cette douceur au plus profond de mon ventre, et vibre à l’unisson en me frottant contre elle, jusqu’à la jouissance…De voir nos intimités réunies et ouvertes, il a repris sa forme, et sans faillir, il glisse son pénis dans le vagin étroit d’une de ses servantes…La fille est possédée, ouverte, elle se met à vociférer, tremblant de tout son être, plaquée, face à lui, elle est écartelée pour recevoir en rythme les coups de pilons de ce prince en rut…La fille était jeune, et vierge, tradition séculaire, son dard encore rougi glisse dans ma fente et me transmet la pureté et l’innocence de cette jeune fille, et je jouis vraiment, tant il me lutine, puis bien évidemment s’en prend à mon derrière, parfaitement huilé et transperce mon cul d’un dard autoritaire, marquant à jamais l’historique de ma vertu…Une autre m’offre sa chatte, que je bois sans compter, elle se met à jouir sous ma langue agile, qui agite en tous sens ce petit sexe tout neuf, clitoris qui grossit, se tend pour que je le suce, elle crie, elle a mal tant le désir est là, alors il sort de moi, et la fourre d’un coup sec, transformant cette vierge en jeune femme accomplie, qui s’agite sur lui, se prend avec tendresse, et me laisse la place, au moment où il vient, m’imprégnant de semence jusqu’au fond du vagin…Cérémonie de le femme prise par son amant, censée être mise enceinte par un dieu libertin, les trois filles y passent, gémissant leurs étreintes, les fesses relevées dans un parfait ensemble… Elles viennent quémander ma langue dans leur chatte et le dard revenu passe de bouche en bouche, tel un calumet… On prend un bain tous ensemble, les filles enchevêtrées s’en donnent à cœur joie, s’offrant au prince, par devant, par derrière, et venant aussi somnoler contre moi, un sein entre les mains… Soirée magique, soirée exotique, Lola me raconte encore, mais je m’endors… dans ses bras…FINMarika842010 Juin 2019

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