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Découverte de la soumission 11

Babes

Découverte de la soumission 11La matinée ne pouvait pas mieux commencer. Je découvre le délicieux supplice de la chasteté. Mon sexe est enfermé dans une petite cage en plastique, aucune érection possible. Je suis excité comme un fou. J’ai très envie de jouir, ma queue coule toute seule devant les sollicitations incessantes de mes collègues, sans pouvoir jouir. Elles sont passées à une autre étape on dirait. La sensation de chaleur venant de mes fesses irradie dans tout mon corps. C’est la première fois que je ressens ça. Ma première fessée, même si ce n’est que deux grandes claques sur mon cul. Je suis très très troublé.Les filles me demande comment vont mes fesses, chaque fois que je passe à côté d’elles. La nouveauté c’est qu’elles frottent, caressent mon cul, jouent avec mes couilles, parfois je sens un doigt qui force mon petit trou. Mon excitation ne faiblit pas, je crois que je n’ai pas débandé de la matinée, enfin ma queue essaie de tendre désespérément. Malgré tout le travail avance bien. Midi je suis dans la cuisine, la préparation du repas arrive à son terme quand VANESSA me demande de rajouter deux couverts. _Nous avons des invitées, ce midi. Panique, angoisse, qui peut venir ? MANON est au courant de ma situation mais qui d’autre ? Je m’active, augmente les quantités, prépare la table.L’angoisse ne disparaît pas. Elles se sont engagées à ne pas mettre ma vie professionnelle en danger, elles me l’ont promis. La nouvelle directrice doit normalement passer à l’entrepôt. Est-ce que c’est elle qui vient? Donc si elle vient elle va tout savoir ? J’angoisse vraiment. Midi et quart, elles sont toutes installées. C’est le moment que choisi LAETITIA pour me demander de lui lécher les pieds._J’ai envie de sentir ta langue entre mes doigts de pieds. J’ai beaucoup transpirée ce matin, tu vas te régaler. Et puis surtout, te voir ramper à quatre pattes, ça m’excite trop. Elle a choisi sa place bien sur. Je suis de dos à la porte, la moitié du corps sous la table. Je me sens piégé. Elles aiment jouer avec mes nerfs. Je m’applique, je lui lèche les pieds comme elle aime, je suce les orteils, je passe ma langue partout, j’avale le bout de son pieds presque en entier,…Ma position est très humiliante, je trouve. Je suis à quatre pattes, la tête sous la table, le cul bien relevé, et tout ouvert, les jambes écartées, mes couilles encerclées, ma bite encagée. Je suis totalement offert. Je montre tout. Elles discutent, parlent du week-end qui vient…Une voiture arrive, la porte d’entrée est ouverte, j’entends des pas s’approcher. D’un pied LAETICIA appuie sur ma tête, de l’autre elle enfonce son pouce dans ma bouche._Suce moi bien. Montre moi comment tu ferais pour tailler une pipe. Les autres filles se lèvent pour saluer nos invités. Je reconnais MANON au son de sa voix. L’autre ne dit rien, je ne sais pas qui est la. MANON, s’acroupie à côté de moi, pose une main sur mes fesses. _Comment ça va, mon petit juju, non ne répond pas, c’est mal élevé de parler la bouche pleine. Sa plaisanterie l’amuse et fait rire les filles. Elle les félicite ensuite pour la mise en scène. _La, vous avez fait fort, les filles. La vue du chemin, quand on arrive, avec l’encadrement de la porte, est splendide. Un joli cul, des couilles qui pendent et se balancent dans un mouvement très suggestif, tout cela est terriblement érotique. _Continu de me sucer le pouce, oui comme ça, comme si c’était une bite. C’est bien. _Tend plus ton cul. Cambre toi bien. Je sens un liquide froid couler le long de ma raie. Des doigts me caressent le cul, on force mon oeillet, un doigt me pénétre, des mains écartent mes fesses. Un deuxième doigts me fouille, m’écarte, un troisième puis un quatrième, m’ouvre le cul. Un liquide coule à l’intérieur. Les doigts mes fouillent. Ils me laisse tout ouvert. Un objet force le passage de mon cul. C’est froid, dur, assez gros. _Une voix si familiaire chuchote à mes oreilles. _Détend toi mon chéri, ouvre toi bien. Voilà tu l’a tout avalé, tu as une jolie décoration maintenant. _STÉPHANIE tu… Je n’ai pas terminé ma phrase qu’une énorme claque s’abat sur mon cul. _Qui t’a autorisé à parler?Tu as oublié le peu de règle qu’on t’a enseigné ?Une deuxième, puis une troisième et une quatrième claque encore plus forte s’abat sur mon cul. _Sort de la. Je recule à quatre pattes. _Lève la tête. Elles sont toutes la debout autour de moi. Je ne sais pas qui m’a fessé._Alors ! M’interroge PATRICIA que dois tu dire et faire ?Je m’approche de ses pieds dépose un baiser et la remercie. Une autre claque tombe sur mon cul. _Ce n’est pas moi, tu t’es trompé, recommence. Je me décale devant VANESSA, je la remercie en embrassant ces pieds. Une autre claque tombe. _Perdu, recommence. Je suis devant STÉPHANIE. Je sais que ce n’est pas mon Épouse qui m’a fessé. Je lui embrasse quand même les pieds en la remerciant. Une autre claque tombe. _Tu le fais exprès, tu t’es trompé, on va croire que tu aimes ça juju.LAETITIA est la suivante. Pareil ce n’est pas elle je le sais, une autre claque tombe. Je suis devant MANON, je la remercie, une autre claque. Mon cul commence bahis siteleri vraiment à me chauffer. Je suis devant CELINE je la remercie en embrassant ces pieds. Une autre claque arrive, plus forte que toutes les autres, puis une autre, je n’ai aucune idée du nombre de claque que j’ai reçu. Je sais juste qu’elles m’en ont donné plusieurs chacune. _La prochaine fois tu feras plus attention mon petit juju. Je me retourne vers PATRICIA, embrasse ses pieds, je me redresse. _je vous remercie Madame PATRICIA . _Pourquoi tu remercie ?_Madame, Mesdames, je vous remercie de m’avoir donné la fessée.C’est clairement une nouvelle étape dans mon humiliation. Elles se regardent, sourient. Il y a une grande connivence entre elles. Je sens qu’elles sont satisfaites de leur mise en scène. J’ai l’impression que ce scénario à été écrit a l’avance, et de n’être que leur jouet. C’est très jouissif._Debout position une. Tourne sur place,tout doucement, que l’on puisse toutes voir ton joli petit cul tout rouge. Les commentaires fusent, des plus salaces au plus soft. Mon Épouse est la première à me caresser les fesses, sa main est douce et fraîche. Sans avertir elle appuie sur le gode, le sort, le rentre, le sort. Elle me branle le cul. Je couïne, je crie mon plaisir, je n’ai absolument plus aucun contrôle de mon plaisir, ni aucune retenue.On m’appuie sur les épaules. Mon torse est à plat sur la table, le cul offert, mes jambes sont écartées, mes pieds à plat sur le sol, mes bras sont tendus, les mains posées sur la table. Une avalanche de claques arrive sur mon cul, sur mes cuisses.Je reçois une vraie fessée.Mes jambes sont écartées encore plus, les claques pleuvent partout. Même mes couilles sont visées, la douleur devient importante.J’essaie de ne pas bouger. Mon cul est toujours fouillé, le gode est différent, il semble plus long. Il frotte sur ma prostate sans discontinuité. Je suis enculé et fessée en même temps, c’est nouveau, terriblement excitant. Le plaisir bouillonne dans mon ventre comme un volcan en ébullition. Mon sexe dans sa cage, est petit, et mou. Je ne bande pas. Mes couilles sont brûlantes, elles vont exploser. Je ne sais pas se qui se passe dans mon corps et dans ma tête. Je perds tout contrôle. Je me sens flotter, je suis sur une autre planète, je ne ressens plus de douleur, au contraire. Je me suis dans une plénitude proche de l’orgasme. Je ne cri pas de douleur, je gémis de plaisir, je réclame, j’implore de continuer, d’aller plus vite, de taper plus fort, de me défoncer plus profondément. Je suis une chienne en chaleur. C’est tellement bon. Je hurle mon plaisir. Je perds conscience de tout, seules les sensations de plaisir me submergent, ça m’entraînent dans une forme d’irréelle conscience. Dans un brouillard des sens,J’entends toutes les femmes autour de moi parler sans rien comprendre à ce qu’elles disent.Je perds totalement la notion du temps, de l’espace. Je ressens juste ma jouissance foudroyante, l’orgasme m’a transporté ailleurs. C’est PATRICIA qui me sort de ma léthargie, elle me parle a l’oreille, sa voix s’insinue dans mon cerveau, elle me flatte, me rassure, me complimente, elle me ramène sur terre. C’est le silence qui me réveille. Je lève les yeux, elles sont toutes là, elles me regardent avec le sourire, et une sorte de fascination. Mon torse est encore sur la table._juju, mon petit juju, tu es là ? Tu te souviens ou tu es ? Allez, relève toi, nous avons faim. Peux tu faire le service. S’il te plaît. Je me redresse en m’appuyant sur les bras. Je suis debout mais lorsque je veux faire un pas, tout se dérobe. Je me retrouve allongé sur le sol, mon corps ne m’obei plus. Je tremble, je frémis encore de plaisir, mon orgasme continu. Mon Épouse et LAETITIA m’aide à me relever, je suis assit sur une chaise. Je bois l’eau qui m’est donné , je suis encore sous le choc. Mes fesses, mes cuisses, mon cul est tres douloureux. Et pourtant, je suis juste très très bien, une pure extase. PATRICIA s’installe à table, invite les filles à en faire de même. Je vous explique, juju écoute bien toi aussi. Notre petit juju à découvert le “sous-espace” _quoi ? De quoi tu parles PATRICIA. _Je vais vous expliquer les filles, tu va comprendre STÉPHANIE. Rien de grave bien au contraire, regardez le, il a l’air bien non?Je dois être un peu bizarre car elles rient toutes de bon coeur. PATRICIA continue, _Lors de séances de domination le soumis ou la soumise, confronté à une multitude de stimulation peut atteindre un état de conscience modifié. Pour faire simple, face à une grande douleur, une humiliation importante, ou autres, le corps secrète des substances particulières, des hormones. En clair la chimie de son cerveau lui fait atteindre une sorte de transe. _Tu veux dire que mon juju était shooté ?_Oui STÉPHANIE on peut dire qu’il était drogué au plaisir, totalement défoncé. _Ça tu peux le dire, bien bien défoncé, mon petit juju. C’est la première fois qu’il est dans cet état, et pourtant je l’ai déjà enculé un sacré nombre de fois.Qu’est ce qui lui est arrivé ?_Une autre façon de jouir. Une sorte d’orgasme physiologique, psychologique canlı bahis siteleri et physique. D’ailleurs il a éjaculé, regarde, son sexe coule depuis tout à l’heure. Tous les regards sont sur ma queue, je baisse la tête et en effet j’ai éjaculé et ça continu de couler. Je ne l’avais pas senti. Je me sens encore sur un nuage. Mon Épouse est à la fois surprise et inquiète. _Tu as vraiment aimé te faire fesser et enculer mon juju d’amour ? _Oui mon amour, c’est incroyable, c’est la première fois que je ressens ça. Je suis vraiment parti très très loin. C’est très très puissant. _Ça s’est vu mon juju, tu étais magnifique. _Merci mon Amour, merci à vous toutes. Je ne sais pas comment vous remercier. _Mais en faisant le service mon petit juju. Nous avons toutes très faim. _Avant de commencer tu n’oublies pas de nettoyer tes cochonneries. Je me lève, mon corps m’obei enfin, je ressens une douleur sourde dans mes fesses, mes cuisses, une sorte de brûlure. C’est très chaud au contact de mes mains. Je me penche, tourne la tête, en vain je ne vois pas mon cul, juste mes mollets, et mes cuisses qui sont toutes rouges. J’ai vraiment pris cher. A l’endroit où j’ai été fessé, une grande quantité de sperme forme une petite flaque sous la table. Je ne suis plus autant excité, les filles me regarde. PATRICIA se lève, s’approche. _Mon petit juju, veux tu me faire plaisir ?_Oui Madame PATRICIA _Alors tu va te mettre à quatre pattes et tu vas lécher ton sperme et Tu sais pourquoi ?_oui Madame PATRICIA. Parce que vous le voulez. _Pas seulement, juju. Parce-que tu aimes être humilié, tu aimes être fessé, tu aimes te faire enculer, tu aimes être soumis devant les Femmes. Regarde toi tu es à poils, devant six femmes habillées, tu porte une cage de chasteté et ton cul est rempli d’un gode. On ta toutes vu, entendu, t’humilier volontairement, sans y être obligé. Juju as tu aimé tout ce que tu viens de vivre ?_Oui ! Oh Oui ! Madame PATRICIA. j’ai vraiment aimé tout ce que vous m’avez fait. Pour preuve, je suis excité encore comme un fou. Regardez, ma queue essaie encore de durcir.J’ai pris beaucoup de plaisir, merci, merci. Je vais lécher mon sperme. Puis je suis à vous tout de suite Mesdames. _Avant, juju tu vas nettoyer le gode qui t’a fait jouir. Montre nous comment tu es reconnaissant. Je suis à genoux, elle tient un gode immense, pas très gros en largeur, mais il doit faire une trentaine de centimètres de long._Allez juju, applique toi bien. Je commence par lécher le bout, je descends et remonte, je passe la langue partout._Ouvre bien ta bouche, sort ta langue, oui c’est bien. Nettoie la bite qui vient de t’enculer. _C’est bon, regardez comme il aime ça, allez suce le, va plus loin._T’es même pas à la moitié alors que tu l’as pris pratiquement en entier dans ton cul. _Tu y es presque, c’est ça, oui continue, encore, très bien, lève les yeux, regarde moi. PATRICIA me baise littéralement la bouche. Les filles nous entourent, les commentaires sont tous très humiliants. Rien ne mets épargné. _Maintenant, nettoie ton sperme.J’ai été très rapide pour boire mon jus, sous leurs applaudissements. _C’est très bien juju, maintenant sert nous a manger.J’ai fait le service avec beaucoup de zèle et d’envie. Les discussions s’enchaînent, elles n’en reviennent pas, de mes réactions. PATRICIA est questionnée sans arrêt. Je cours partout, heureusement que je suis debout, mon cul me brûle. Après le café, MANON et STÉPHANIE partent. Mon Épouse me félicite pour ma prestation. Elle m’encourage à continuer d’être aussi obéissant et dévoué. Elle m’embrasse langoureusement sous les sifflets des autres filles.PATRICIA me demande de m’installer sur la table dans la même position que pour ma fessée. _Nous sommes sévères mais pas cruelles, juju. LAETITIA va te passer une crème pour atténuer les effets de ta correction. Ses mains semblent glacées, elle passe délicatement la pommade sur tout le bas de mon corps, des chevilles au milieu de mon dos. L’effet est presque immédiat, je ne ressens plus cette sensation de brûlure. En même temps, mon excitation augmente à nouveau, elle a sorti le plug plusieurs fois, m’apportant des pures sensations de jouissances. C’est curieux, je viens d’éjaculer en grande quantité il y a quelques minutes, je suis encore et toujours si excité.Je remercie LAETITIA pour son attention si délicate. _Mon petit juju, ce n’est que du plaisir de te faire ça, tu dois savoir que je fais tout ce que j’ai envie. Je te rassure, j’ai encore beaucoup beaucoup d’idées. 14 heures les collègues se remettent au travail. Je range la cuisine. 14h15 je suis à mon poste. La sensation de bien être, ne m’a pas quitté. Le plug me procure des sensations troublantes.L’après-midi midi passe rapidement, je suis encore plus sollicité par mes collègues. Je transporte tous leur paquets. Je passe mon temps à aller de l’une à l’autre. Le plug malheureusement, devient douloureux à chaque pas, et quand je m’assois c’est pire. PATRICIA qui me voit grimacer, m’autorise à lubrifier mon cul. Je suis dans les toilettes, porte ouverte face caméra. Le sortir me fait grimacer. canlı bahis Je lubrifie bien mon cul, le plug rentre tout seul. Je sais que tout a été filmé, j’ai un peu honte pour mon lavement. Je ne peux, et ne veux rien cacher.Je remets aussi de la pommade sur mon cul et mes cuisses. Retour au travail, CÉLINE m’interroge sur mon absence. _Madame CÉLINE, j’ai sorti mon plug qui devenait trop douloureux. J’ai bien lubrifié mon conduit avant de réinstaller le gode au fond de mon cul. Pour lui montrer, je me suis retourné, je me suis penché en avant. Les jambes écartées, les mains posées au sol. Elle ne fait pas de commentaire, son sourire suffit à me rassurer. 17h30 PATRICIA me demande de m’installer pour ma confession mais de les attendre. Les sanitaires sont propres. Une caméra est posée sur un trépied en face de la table.Qu’on t’elles prévu ? Je me sent encore tout excité. Je suis en position, à genoux les jambes écartées, les mains sur la tête, face caméra, dos à la porte. L’attente est courte. Elles rentrent toutes, même MANON est là. Elles se placent devant moi, MANON est derrière la caméra. _juju, ta première semaine de dressage arrive à sa fin. Tu as dépassé très largement toutes nos espérances. La soumission est dans tes gènes. Tu es un vrai mâle soumis. Tu n’es pas un homme faible, bien au contraire. Durant toute cette semaine tu as fait preuve de beaucoup de courage et d’abnégation. Je suis très fière de toi, nous sommes toutes très contentes de te voir la.Ta soumission est un cadeau rare et précieux. Nous voulons toutes ton bonheur. Tu as une femme magnifique qui t’aime et que tu aimes. Tu as ce week-end pour réfléchir à ce que tu veux réellement. Ta réponse sera définitive. Lundi il n’y aura pas de retour en arrière possible, quelque soit ta décision on l’a respectera. Tu es un homme libre, en pleine possession de tous tes moyens. Fait tes choix. Un long silence, le moment est grave. PATRICIA continue. _Cette caméra est pour toi, toutes tes confessions devront y être enregistrées. Tu l’a rangera dans ton placard. Tu trouveras sur la table de la cuisine un questionnaire très détaillé, à nous rendre lundi. Prend le temps d’y répondre avec une grande franchise. Tu portes une cage de chasteté provisoire. Nous allons te libérer pour ce week-end. CÉLINE s’approche, la clef à la main, avec force elle att**** ma cage, d’une main elle serre mes couilles, de l’autre elle ouvre le cadenas. _Tu peux la sortir. Lentement je sors le cadenas, le tube se détache tout seul, le dispositif en plastique est vite enlevé. Ma queue se déplie, elle semble revivre. En quelques secondes, elle est dure et tendue. _Branle toi. L’ordre vient de PATRICIA. Je prends ma queue dans la main droite, je la serre un peu, je décalote le gland, les marques de la cage sont incrustées sur ma peau. Je monte, descend ma main. Ce geste est mécanique, tant de fois répété. _Regarde nous. Encore un ordre de PATRICIA. Je lève la tête, elles me regarde toutes. J’ accélère le mouvement, je ne ressens aucun plaisir physique, ma queue au contraire ramollie. Voir mes collègues me regarder, est une source de plaisir et d’excitation importante, je me branle pour elles. Pourtant, le plaisir ne vient pas, je n’arrive pas à bander . Je me branle avec une frénésie folle, mais rien ne vient, je reste mou.Je me sent ridicule. _alors ça vient ?_excusez moi Mesdames, je n’y arrive pas. _tu as besoin de stimulation ?_Je suis vraiment désolé Madame, je ne vais pas arriver à bander, ni à éjaculer. PATRICIA se lève, descend sa culotte, l’approche de mon visage. Son parfum me submerge, j’oublie tout , seul ses effluves comptent. J’ai envie de lécher, de boire ce divin nectar. _Alors c’est mieux ?_Oui Madame PATRICIA, merci beaucoup votre parfum est divin. J’ai à peine terminé ma phrase, qu’elle m’enfonce sa culotte dans la bouche.Ma queue durcie en un instant. L’excitation est immédiate. En quelques secondes tel un éjaculateur précoce, quatre cinq va et vient suffisent. _Je vais jouir. Je jouie pour vous Mesdames . Pour vous toutes. Merciiiiiii. Ahhhhhh.Mon éjaculation me surprend. Juste deux petites giclées atterrissent sur la table. Je continue mes mouvements, je veux sortir jusqu’à la dernière goute. Mon corps est parcouru de tremblement, je suis tombé en avant, une main sur la table l’autre tient toujours ma queue. Je n’ai pas quitté PATRICIA des yeux. Elle a un grand sourire. Les autres collègues me regarde les yeux brillants. LAETICIA et MANON ont une main sur leur sexe, elles ont dû jouir avec moi. Leur regard ne trompe pas. _Tu nous as offert encore un magnifique spectacle juju. Merci. Bon week-end, à lundi. PATRICIA est la première, elle m’embrasse sur la tête, elles passent toutes ainsi pour me souhaiter un bon week-end. MANON est la dernière, elle m’embrasse sur la bouche. _Te voir jouir en direct est un régal, merci mon petit juju. Je passe sûrement dimanche pour vous porter le DVD de ta semaine. Il me faut plusieurs minutes pour me rassembler, redescendre. Elles sont parties, je suis seul. La caméra est toujours allumée. Je lèche mon sperme sur la table, sur mes doigts.Je fais ma confession, encore shooté à l’orgasme. Je range tout, je nettoie. j’emporte la cage. Une chemise cartonnée rose est posée sur la table de la cuisine. Je prends tout, je ferme. C’est le week-end, je rentre chez moi.

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