Uncategorized

The Butler (le majordome)

Ass

Lady Kate Harrington, Baronne de Canterbury, Duchesse d’Heresford et Comtesse de Surrey, pour ne citer que ses titres les plus importants, épouse du Baron Charles Harrington de trente-cinq ans son ainé, remonta sur sa cuisse le bas fumé qu’elle accrocha délicatement à la jarretelle.

A quarante cinq ans, Lady Catherine est une très belle femme. Son mariage avec le vieux baron avait un peu fait jaser dans le Sussex ou elle habitait désormais mais cela avait vite était oublié. Elle laissa retomber la jupe de son tailleur cintré qui mettait en valeur son corps. Elle se percha sur des talons aiguilles et se regarda une dernière fois dans la glace. Elle devait se rendre à l’hippodrome d’Ascot et la tenue avait de l’importance. Elle positionna sur sa chevelure blonde un élégant chapeau à voilette et sortit de sa chambre.

Winston, the butler, le majordome, leva les yeux en entendant le claquement des talons aiguilles sur le dallage du grand hall du château de Gloucester. Lady Kate Harrington passa devant son majordome sans lui accorder le moindre regard. Winston, lui, regarda les jambes dévoiller par la jupe du tailleur. Le vieux majordome, il avait bientôt soixante-cinq ans, servait fidèlement la famille Harrington et monsieur le baron depuis de nombreuses années. Intendant du château, il devait gérer les divers employés du château, de la femme de chambre en passant par le chauffeur et le palefrenier des écuries.

Winston débarrassa la table ou madame la baronne venait de prendre son breakfast. Lady Kate Harrington se leva, se tournant sur le coté, sa jupe dévoillant au yeux du majordome les trois quarts de ses cuisses et il aperçut subrepticement l’attache du porte-jarretelles. Il avait l’habitude. C ‘était fréquent que le vieux majordome passe devant la porte entrebaillé de la chambre de la baronne et il la surprenait souvent en train de s’habiller et mettre de la lingerie fine affriolante… Il se demandait souvent si la baronne le faisait intentionnellement ou par totale inadvertance. Le vieux baron ne devait pas lui rendre hommage très souvent.

Agacée, Lady Kate Harrington jeta un œil sur le petit tas de diamants qui lui servait de montre et qui devait couter plusieurs mois de salaires d’un ouvrier britannique moyen.

Elle allait finir par arriver en retard à Ascot. Son mari était dans son club à Londres préférant les discussions entre gentlemen plutot qu’une course de chevaux.

Il avait pris la Bentley plus discrète que la Rolls.

Celle ci attendait sagement devant le perron du château. Mais pas de chauffeur.

Hors d’elle, Kate chercha du regard John le chauffeur.

Près des écuries, les domestiques fument une cigarette. John, Winston, emek escort Harriet, la femme de chambre et James le palefrenier discutaient des sous-vêtements de Lady Catherine. Winston leur a raconté comment il a apperçut le porte-jarretelles de madame la baronne et Harriet confirme que Kate a pleins de lingerie fine dans sa commode. De la nuisette transparente en passant par la guêpière et les portes-jarretelles.

– Je suis sur que sous ses airs de grande noblesse, c’est une grosse salope Lança James.

Ils furent interrompus par l’arrivée de Lady Harrington folle de rage.

– Mais que faites vous la ? John !! Je vous attends, nous allons à Ascot mon pauvre ami ! J’aime mieux vous dire qu’il y aura des suites, j’en parlerai à monsieur le baron…

Madame est rouge de colère et elle tape du pied au risque de briser le talon fin de son escarpin.

Harriet s’approcha de la baronne et lui souffla de la fumé en plein visage. Offusquée, Lady Kate Harrington la gifla.

La femme de chambre cria et se jeta sur elle la faisant tomber à terre. Interloqués, les autres domestiques regardent sans même avoir l’idée d’intervenir, les deux femmes se battrent comme des chiffonniers. C’est Harriet qui a le dessus, elle c’est mise à califourchon sur sa patronne. Lady Kate Harrington se débat et secoue ses jambes remontant involontairement la jupe de son tailleur dévoillant aux yeux de ses employés les bas fumés et le porte-jarretelles.

Harriet ouvrit la veste du tailleur exhibant le soutien-gorges bien rempli de Lady Catherine qui poussa un rugissement et supplia ses autres domestiques de venir l’aider.

Les autres se précipitèrent mais pas pour aider leur tyrannique patronne mais leur amie Harriet.

Ils arrivèrent à positionner Lady Harrington à quatre pattes sur le gravier. La jupe du tailleur tirebouchonnée autour de la taille dévoillant un string rose que Harriet écarta. Elle introduisit son index et son majeur dans la fente de madame la baronne la faisant couiner. Décoiffée, haletante, madame la baronne tente de se cabrer et de se délivrer mais les domestiques la tiennent solidement.

La femme de chambre fait coulisser ses doigts rapidement dans sa chatte. James et John sortirent leurs membres gonflés à bloc et les présentèrent à Lady Kate Harrington qui protesta.

– Mais…mais….Vous n’allez pas…

Elle arrondit les yeux quand les deux bites s’enfoncèrent dans sa bouche forçant le barrage de ses lèvres rouges. L ‘étouffant à moitié. Madame la baronne n’a pas l’habitude de suçer deux bites en même temps…..

Elle grogne, suffoque, étouffée par les deux membres qui lui déforment eryaman escort la machoire. Elle suce les bites, titillant le gland de sa langue, salivant dessus pendant que Harriet qui a déniché une cravache dans les écuries lui fouette le cul la traitant de sale chienne lui rougissant le cul.

Les deux hommes ne tardèrent pas a jouir, aspergeant de foutre le visage de Kate Harrington….

Winston, le vieux majordome savourait à son tour la fellation de Kate.

Debout sur ses talons aiguilles, penchée en avant, elle pompe la bite de son majordome qui la tient par les cheveux pendant que derrière elle, Harriet la doigte sans ménagement ayant quasiment enfoncé sa main dans sa chatte dégoulinante de mouille. La femme de chambre agite sa main faisant couiner sa patronne. Kate arrêta de sucer son majordome pour pousser un hurlement submergé par l’orgasme qui la terrassa.

Ayant repris de la vigueur, le palefrenier vient d’introduire un sexe d’un calibre impressionnant dans sa chatte. Il la pilonne la tenant aux hanches faisant sauter ses seins qui jaillissent du soutient-gorges baissé.

Les cheveux en bataille, le chapeau de travers, la voilette venant caresser la bite du majordome à chaque va et vient de la bouche, Lady Harrington halète et gémis, le corps secoué par les violents coups de bites de son palefrenier.

Evidement cela la change de la position à l’horizontale pèpère du vieux baron….

Winston éjacula dans la bouche de la baronne en grognant. Péniblement Lady Catherine avala le sperme.

Son majordome fut vite remplacé par son chauffeur qui enfourna sa queue dans sa bouche. Il fait coulisser sa bite entre ses lèvres pendant que le ventre de son palefrenier vient claquer contre ses fesses. James accéléra la cadence faisant gémir sa patronne, n’y tenant plus, il jouit sur ses fesses lachant des trainés de sperme vite rejoint par John qui lacha des bordés de foutre dans la bouche de Lady Catherine qui s’affala sur le gravier vomissant par terre le trop plein de sperme…..

Harriet filma avec son portable en gros plan le visage ravagée de Kate. La distinguée Lady, Baronne de Canterbury, Duchesse d’Heresford et Comtesse de Surrey, empalée sur la bite de son chauffeur, suçant en même temps les bites de son majordome et de son palefrenier, ses seins gigottant dans tous les sens, gémissait sans discontinuer. Après l’avoir baisé devant les écuries, ils sont revenus dans l’enceinte du château. C ‘est donc dans le grand salon que l’orgie continue. C’est surement la première fois qu’une Harrington participe à une partouze à Gloucester.

James et John éjaculèrent sur le visage esat escort fin et aristocratique de Lady Kate qui recut une quantité impressionnante de sperme. Les filaments coulèrent de son front tombant sur son nez et son menton atterrissant sur ses seins.

Les hommes prennent un whisky bien merité pendant que sous leur yeux Harriet joue avec sa patronne. La femme de chambre après lui avoir lécher le clitoris la faisant jouir une première fois l’a contrainte à se mettre en ciseaux par terre au milieu du salon et Harriet frotte frénétiquement sa vulve sur celle de Lady Harrington qui pousse des jappements et des cris en se tordant la pointe des seins. Un orgasme la fit hurler dans le château….

Echevelée, haletante, en sueur, les bas filé, le visage et les seins recouverts de foutre, la pauve Lady Kate Harrington à quatre pattes dans le salon se fait enculer par son majordome pendant qu’elle doit lécher le clitoris de sa femme de chambre allongée devant elle. Celle-ci lui maintient fermement le visage sur sa vulve lui ordonnant de la lécher….

Le baron Charles Harrington descendit de sa Bentley étonné que son majordome ne soit pas la pour l’acceuillir. Il rentra dans le château et de nouveau pas de majordome. Ou donc était Winston se demanda le vieux baron. Il entendit alors des cris et des gémissements venant du salon. Des rires aussi. Mais que ce passait il donc ?

Il rentra dans le salon et fut stupéfait par ce qu’il y découvrit.

Sa femme, Lady Kate Harrington simplement vétu d’une nuisette transparente et d’un porte-jarretelles retenant des bas noirs à couture. Déambulant dans le salon titubante sur des escarpins noirs vernis aux talons aiguilles vertigineux, elle portait un plateau servant des apéritifs à ses….domestiques ! Le vieux baron manqua faire une crise cardiaque. Il voit distinctement son majordome, sa femme de chambre, son chauffeur et son palefrenier, user du corps de son épouse des qu’elle passe à leurs cotés, lui trifouillant la chatte, palpant ses seins…

Il poussa un cri et tous tournèrent la tête. Kate lui jeta un regard désespéré mais elle ne pouvait dire un mot la machoire obstruée par un collant roulé en boule enfoncée dans sa bouche maintenue par un bas autour de sa tête. Elle ne put que sortir un gargouillement étouffée par le baillon improvisé.

Harriet s’approcha de monsieur le baron et lui montra les vidéos réalisées pendant son absence et lui montrant la nouvelle condition de son épouse. Ainsi que la sienne, il était hors de question que cela se sache dans le Royaume. Si cela remontait jusqu’aux oreilles de Buckingham Palace…

Il baissa la tête et compris que ses domestiques avait pris le pouvoir au château de Gloucester….Il tomba dans son fauteuil annéanti pendant que son épouse était emmenée à quatre pattes devant lui. Le regard perdu et bandant un peu dans son pantalon il observa sa femme, les yeux révulsés, secouant la tête, défonçé par son majordome qui la tenait aux hanches la faisant hurler dans son baillon…..

Bunlar da hoşunuza gidebilir...

Bir yanıt yazın

E-posta adresiniz yayınlanmayacak. Gerekli alanlar * ile işaretlenmişlerdir